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16 octobre 2010 6 16 /10 /octobre /2010 20:42

La permission est une autorisation d’absence provisoire accordée aux combattants français à partir de juin 1915. Suscitant de vastes débats et une organisation matérielle conséquente, elle était attendue avec impatience par les soldats.

 

A partir du 1er février 1917, les officiers ou hommes de troupe bénéficient, tous les quatre mois, d'une permission de détente de 7 jours, délai de route non compris.

 

La durée de ces permissions est augmentée de délais de route calculés de la façon suivante :

 

 - Pour un trajet aller-retour de 401 à 800 kilomètres, il est accordé 1 jour.

 - Pour un trajet aller-retour de 801 à 1600 kilomètres, il est accordé 2 jours.

 - Pour un trajet aller-retour de 1601 à 3000 kilomètres, il est accordé 3 jours.

 - A delà de 3001 kilomètres : 4 jours

 

Ils pouvaient également bénéficier de permissions d'une semaine dites de convalescence (malades ou blessés sortant des formations sanitaires) ou de permissions exceptionnelles, soit pour mariage, naissance d'un enfant légitime, décès ou maladie grave du père, de la mère, de la femme, d'un enfant ou frère blessé à l'ennemi ou mort pour la France ou pour revoir un parent (père, mère, femme ou enfants) de retour de captivité ou évacués des région envahies.

 

Les classes les plus anciennes pouvaient bénéficier également de permissions agricoles de 20 jours.

 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 22:39

 

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 "Nous serons vainqueurs dans tous les combats, l'aéroplane guidera nos pas"

 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 20:43

En création

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 22:43

Très rapidement, à l'automne 1914, le passage de la guerre de mouvement à la guerre de position pose la question de la gestion économique d'une guerre qui s'annonce plus longue que prévu.

Dans ce contexte, l'Etat lance chaque année, entre 1915 et 1918, quatre grands emprunts.

Afin de frapper au mieux les esprits à travers des couleurs et des symboliques, l'Etat fait appel aux meilleurs dessinateurs de l'époque : Poulbot, Abel Faivre, Hansi,.... .

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L'affiche de 1915, retranscrite en carte postale, représente le soldat prussien terrassé par le coq gaulois.     

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  Mariane apportant du réconfort aux orphelins, aux veuves et aux vieillards

 

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  La semaine de la Charente-Inférieure en 1917

 

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L'affiche "Journée du poilu" en carte postale.

Affiche illustrée en noir et rouge sur fond blanc de Charles Léandre,

25-26 décembre 1915

 

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 Journée du Poilu - 25 et 26 décembre 1915 

 

 

 

 

 

 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 11:44

 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 11:43

 

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 11:46

Après l’armistice du 11 novembre 1918, qui marque la fin des combats sur le front français, le traité de paix est signé à Versailles le 28 juin 1919, scellant la victoire des armées alliées et la défaite de l’Allemagne.

 

Les festivités du 14 juillet 1919, jour de la fête nationale, doivent témoigner avec éclat de la victoire des alliés. Ainsi, le défilé militaire sera le défilé de la victoire.

 

Ce jour là, 3 millions de Français se retrouvèrent à Paris pour assister à l'apothéose de l’union sacrée qui avait prévalu pendant les quatre années du conflit.

 

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A Strasbourg, comme dans toutes les autres grandes villes françaises, les cérémonies du 14 juillet 1919 furent également des moments d'intenses émotions.

 

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 11:47

 

 

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